Tu as pris un médicament ? Ne conduis pas !

Prise de médicament avant la conduite

Tu avales des comprimés pour vaincre les maux de tête ? Vérifie bien si tu peux t’asseoir au volant ! Pourquoi ? Puisque non seulement des somnifères et de l’alcool influencent sur ton organisme, mais aussi des médicaments contre la grippe. Les policiers soupçonnent que tout le dixième accident est provoqué par un conducteur sous influence des médicaments abaissants la concentration, la perception et le réflexe.

Premièrement, les médicaments antidépresseurs qui induisent un véritable éventail des effets secondaires, par exemple la désorientation, les hallucinations visuelles ou les troubles oculaires. Ensuite, il faudrait éviter les antidouleurs et les anti-inflammatoires. Ils contiennent des barbituriques qui entraînent le sommeil. Évite aussi la codéine, un composant des comprimés contre la toux, qui peut affaiblir les réflexes d’un conducteur. Enfin, faites attention aux opioïdes, des substances psychotropes qui composent certains antidouleurs. Ceux-ci nuisent au bon fonctionnement du cerveau, ce qui rend plus difficile à bien estimer la sécurité routière.

Avant de voyager, il est mieux de ne pas boire de l’infusion de mélisse, de la valériane officinale ni du houblon. La consommation de ces herbes favorise le sommeil.

Lis les notices et pose deS questions à ton médecin

Roules-tu chaque jour ? Ne manque pas alors de demander à ton médecin si après avoir pris un médicament prescrit tu serais en état de conduire en sécurité. Si tu te soignes toi-même avec les médicaments accessibles sans ordonnance, lis attentivement tous les notices. Surtout, faites attention aux effets non-souhaités et à la partie consacrée pour les « conducteurs et utilisateurs de machines ». Si tu vois un pictogramme imprimé dans une boîte : un triangle jaune, orange ou rouge avec une voiture dedans, soit prudent ! C’est un appel
À la vigilance des conducteurs : la conduite après avoir pris ce médicament peut être soit perturbée soit dangereuse. N’oublie pas que l’annotation « nuit », ajoutée au nom commercial d’un médicament signifie qu’il contient des substances somnifères.

Vérifie bien quel médicament tu peux prendre

U peux conduire la voiture sans aucun problème même après avoir pris des antidouleurs contenants du paracétamol, de l’ibuprofène ou de l’acide acétylsalicylique (une aspirine). Un conducteur allergique peut prendre par exemple « Zyrtec » ou « Claritine » sans aucun risque. Si tu as des difficultés à t’endormir et le matin tu dois conduire, tourne-toi plutôt vers des infusions d’herbe ou des médicaments légers à base d’herbes.

Si le soir tu as pris un somnifère ou un calmant, sous aucun prétexte n’envisage pas de faire un voyage le matin qui suit ! Ces types de médicaments perturbent la précision des mouvements et augmentent l’anxiété.

Les études scientifiques montrent qu’il ne faut pas boire impunément des boissons énergisantes au volant. Ceux-ci contiennent du guarana, de la taurine et, bien sûr, de la coféine. Il s’avère que ce mélange des ingrédients stimulants liquide de la fatigue pour un court terme. Après, la sensation de fatigue devient beaucoup plus pénible.

mais avant tout ralentis !

Il se trouve qu’on prend des tonnes de médicaments sans avoir la conscience de leurs effets secondaires, nuisibles à la santé. Le plus souvent, des publicités multicolores nous promettent la lune. Franchement, est-ce que tu crois qu’une pilule miraculeuse pour toutes les douleurs de vie existe ? Avant de prendre un médicament quelconque, sois assuré que tu en as absolument besoin un. Parfois il suffit de ralentir le rythme de vie, de donner à l’organisme le temps pour reposer un peu. C’est un meilleur médicament.