Baisse de la mortalité sur les routes en 2013

Baisse du taux de mortalité

L’année 2013 est devenue sans doute une année historique du point de vue du nombre des accidents mortels sur les routes. Dans cette année il y en avait moins de 11% par rapport à l’année 2012.
Le Ministre de l’Intérieur, Manuel Valls, a annoncé au début de cette année le nombre de décès sur les routes dans l’année 2013 : 3250. Ce nombre, par rapport à 3653 de morts dans les accidents dans l’année 2012, constitue une baisse de 11%. Nous avons donc à faire avec le niveau le plus bas jamais enregistré dans ce domaine ! L’année 2013 était la douzième année consécutive où le nombre des morts diminuait. Ici, on peut parler d’un grand succès.

Et en ce qui concerne le nombre des blessés et des hospitalisés, nous pouvons également parler de la baisse de ce nombre. 6,6% de moins de blessés en 2013 par rapport à l’année 2012 et 4,7% de moins de hospitalisés en l’année dernière par rapport à l’année 2012. Et si nous prenons en considération le nombre des morts dans les accidents routiers de l’année 1972 qui était, attention, 18034 ! Nous pouvons donc parler d’un changement énorme sur nos routes.

Limitation de vitesse

Mais ces changements ne sont pas encore achevés. (CNSR) annonce qu’à part l’abaissement de la limitation de certaines routes secondaires à 80 km/h (au lieu de 90 km/h comme il est maintenant) il prépare d’autres changement qu’il veut introduire dans l’année 2014. N’oublions pas que le CNSR, également comme Manuel Valls, veut que le nombre des morts dans les accidents routiers baisse jusqu’aux 2000 à l’horizon de l’année 2020. Et pour atteindre ce but, il faut sans doute non seulement garder cette tendance que nous pouvons observer depuis des années sur nos routes, mais aussi introduire quelques changements qui pourront l’accélérer. Nous pouvons donc entendre parler de l’installation obligatoire d’un éthylotest anti-démarrage (EAD) pour les conducteurs qui étaient condamnés pour la conduite en état d’ivresse. Ce n’est pas une solution nouvelle et elle peut sembler un peu utopique d’autant plus que les conducteurs en état d’ivresse peuvent tricher cet éthylotest anti-démarrage en faisant souffler quelqu’un d’autre pour pouvoir démarrer.

Une autre solution que le CNSR veut introduire, c’est la boîte noire automobile qui enregistrerait 45 secondes en permanences. En cas de l’accident, l’enregistrement s’arrêterait à 30 secondes avant le choc et 15 secondes après. Bien sûr cette solution n’empêcherait pas les accidents, mais sans doute elle aiderait à les comprendre et les résoudre.

Comme nous pouvons voir, tout le monde pense à ce qu’on peut faire pour diminuer les décès sur les routes. Mais à vrai dire, une seule solution qui peut abaisser encore le nombre des morts et des accidents sur les routes en général, ce sont des contrôles augmentés. Et il s’agit des contrôles de la vitesse, de l’état d’ivresse et… des conducteurs eux-mêmes. Parce que ce sont nous, les conducteurs, qui pouvons nous contrôler le mieux.

Limitation de certaines routes secondaires à 80 km/h (au lieu de 90 km/h comme il est maintenant) il prépare d’autres changement qu’il veut introduire dans l’année 2014. N’oublions pas que le CNSR, également comme Manuel Valls, veut que le nombre des morts dans les accidents routiers baisse jusqu’aux 2000 à l’horizon de l’année 2020. Et pour atteindre ce but, il faut sans doute non seulement garder cette tendance que nous pouvons observer depuis des années sur nos routes, mais aussi introduire quelques changements qui pourront l’accélérer. Nous pouvons donc entendre parler de l’installation obligatoire d’un éthylotest anti-démarrage (EAD) pour les conducteurs qui étaient condamnés pour la conduite en état d’ivresse. Ce n’est pas une solution nouvelle et elle peut sembler un peu utopique d’autant plus que les conducteurs en état d’ivresse peuvent tricher cet éthylotest anti-démarrage en faisant souffler quelqu’un d’autre pour pouvoir démarrer.

Une autre solution que le CNSR veut introduire, c’est la boîte noire automobile qui enregistrerait 45 secondes en permanences. En cas de l’accident, l’enregistrement s’arrêterait à 30 secondes avant le choc et 15 secondes après. Bien sûr cette solution n’empêcherait pas les accidents, mais sans doute elle aiderait à les comprendre et les résoudre.

Comme nous pouvons voir, tout le monde pense à ce qu’on peut faire pour diminuer les décès sur les routes. Mais à vrai dire, une seule solution qui peut abaisser encore le nombre des morts et des accidents sur les routes en général, ce sont des contrôles augmentés. Et il s’agit des contrôles de la vitesse, de l’état d’ivresse et… des conducteurs eux-mêmes. Parce que ce sont nous, les conducteurs, qui pouvons nous contrôler le mieux.